lundi 12 décembre 2011

"Nous sommes soeurs, aussi fragiles que les ailes du papillon, mais nous pouvons faire disparaître le monde. Qui sommes-nous?

Jean-Claude MOURLEVAT, "La rivière à l'envers".
Comment expliquer ce que je ressens? Je l'ai tantôt apprécié, tantôt moins apprécié... Vu que ce roman est de nouveau du même auteur, je ne peux m'empêcher de comparer et je trouve certains passages trop long. Néanmoins, j'ai trouvé ce roman étonnant, on entre directement dans ce monde imaginaire qu'est le conte. Selon moi, il est un peu lent dans l'ensemble comme je l'ai dit plus haut. Il y a certains passages où je me suis ennuyée mais Mourlevat dans ces romans nous confronte à beaucoup d'émotions, de péripéties: amour, amitié, voyage, rencontres,...

Globalement, n'hésitez pas, tout le monde peut trouver son bonheur dans les lectures de Mourvelat (J-C pour les intimes).

1 commentaire:

  1. Ce sont les paupières aussi fragile que les ailes d'un papillon elle peut faire disparaître le monde quand tu cligne des yeux

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